>“Ambos Pueblos somos naciones herederas de una vasta historia y una milenaria tradición que se expresan con vigor en
>las diferentes manifestaciones artísticas y culturales de nuestro pasado común y de nuestra vida contemporánea”, enfatizó Cué.
Toute passion, en effet, quelque apparence éthérée qu'elle se donne, a sa racine dans l'instinct sexuel, ou même n'est pas autre chose qu'un instinct sexuel plus nettement déterminé, spécialisé ou, au sens exact du mot, individualisé. Considérons maintenant, sans perdre de vue ce principe, le rôle important que joue l'amour, à tous ses degrés et à toutes ses nuances, non seulement au théâtre et dans les romans, mais aussi dans le monde réel. Avec l'amour de la vie il nous apparaît comme le plus puissant et le plus énergique de tous les ressorts ; il accapare sans cesse la moitié des forces et des pensées de la partie la plus jeune de l'humanité ; but final de presque tous les efforts des hommes, il exerce dans toutes les affaires importantes une déplorable influence : à toute heure il vient interrompre les occupations les plus sérieuses ; parfois il trouble pour quelque temps les têtes les plus hautes ; il ne craint pas d'intervenir en perturbateur, avec tout son bagage, dans les délibérations des hommes d'État et les recherches des savants ; il s'entend à glisser ses billets doux et ses boucles de cheveux dans le portefeuille d'un ministre ou dans un manuscrit philosophique ; il fait naître tous les jours les querelles les plus inextricables et les plus funestes, brise les relations les plus précieuses, rompt les liens les plus solides ; il exige le sacrifice parfois de la vie ou de la santé, parfois de la richesse, du rang et du bonheur ; d'un homme honnête il peut faire un coquin sans conscience ; d'un homme jusqu'alors fidèle, un traître ; partout, en un mot, il nous apparaît comme un démon ennemi qui s'efforce de tout intervertir, de tout troubler, de tout bouleverser. Comment donc alors ne pas s'écrier : « À quoi bon tout ce bruit ? Pourquoi cette agitation et cette fureur, ces angoisses et ces misères ? Il s'agit simplement, en somme, pour chacun de trouver sa chacune : pourquoi une chose si simple doit-elle tenir une place de cette importance et venir sans cesse déranger et brouiller la bonne ordonnance de la vie humaine ? » ― Mais l'esprit de vérité découvre peu à peu la réponse à l'observateur attentif. Non, ce n'est pas d'une bagatelle qu'il s'agit ici ; au contraire, l'importance de la chose en question est en raison directe de la gravité et de l'ardeur des efforts qu'on y consacre. Le but dernier de toute intrigue d'amour, qu'elle se joue en brodequins ou en cothurnes, est, en réalité, supérieur à tous les autres buts de la vie humaine et mérite bien le sérieux profond avec lequel on le poursuit. Ce qui se décide là, c'est bel et bien la composition de la génération future. Ces intrigues d'amour si frivoles servent à déterminer l'existence et la nature des personnages du drame (dramatis personæ) destinés à paraître sur la scène, quand nous l'aurons quittée. De même que l'existence, existentia, de ces personnages futurs a pour condition générale notre instinct sexuel, de même leur essence, essentia, est fixée par le choix que fait chacun en vue de sa satisfaction personnelle, c'est-à-dire par l'amour sexuel, et se trouve ainsi, à tous égards, irrévocablement établie. Voilà la clef du problème : l'application nous apprendra à la mieux connaître ; si nous passons en revue les divers degrés de l'amour, depuis l'inclination la plus fugitive jusqu'à la passion la plus violente, nous constaterons que la différence qui les sépare provient du degré d'individualisation apportée dans le choix.
L'instinct sexuel en général, tel qu'il se présente dans la conscience de chacun, sans se porter sur un individu déterminé de l'autre sexe, n'est, en soi et en dehors de toute manifestation extérieure, que la volonté de vivre. Mais quand il apparaît à la conscience avec un individu déterminé pour objet, cet instinct sexuel est en soi la volonté de vivre en tant qu'individu nettement déterminé. En ce cas l'instinct sexuel, bien qu'au fond pur besoin subjectif, sait très habilement prendre le masque d'une admiration objective et donner ainsi le change à la conscience ; car la nature a besoin de ce stratagème pour arriver à ses fins. Mais si objective et si bien revêtue de sublimes couleurs que cette admiration puisse nous paraître, cependant cette passion amoureuse n'a en vue que la procréation d'un individu de nature déterminée ; et ce qui le prouve avant tout, c'est que l'essentiel n'est pas la réciprocité de l'amour, mais bien la possession, c'est-à-dire la jouissance physique. La certitude d'être payé de retour ne peut nullement consoler de la privation de cette jouissance : bien des hommes, en pareille circonstance, se sont brûlés la cervelle. Et en revanche, des hommes passionnément amoureux, faute de pouvoir se faire aimer eux-mêmes, se contentent de la possession, de la jouissance physique. J'en trouve la preuve dans tous les mariages forcés, dans ces faveurs que l'on achète si souvent d'une femme, en dépit de sa répugnance, au prix de présents considérables ou d'autres sacrifices, et aussi dans les cas de viol. La procréation de tel enfant déterminé, voilà le but véritable, quoique ignoré des acteurs, de tout roman d'amour : les moyens et la façon d'y atteindre sont chose accessoire. J'entends d'ici les cris qu'arrache aux âmes élevées et sensibles, et surtout aux âmes amoureuses, le brutal réalisme de mes vues, et cependant l'erreur n'est pas de mon côté. La détermination des individualités de la génération future n'est-elle pas, en effet, une fin qui surpasse en valeur et en noblesse tous leurs sentiments transcendants et leurs bulles de savon immatérielles ? Peut-il y en avoir, parmi les fins terrestres, de plus haute et de plus grande ? C'est la seule qui réponde à la profondeur de l'amour passionné, au sérieux avec lequel il se présente, à la gravité attachée à toutes les vétilles qui l'accompagnent ou le font naître. Admettons que tel est bien le vrai but : alors seulement les longues difficultés, les efforts et les tourments auxquels on se soumet pour obtenir l'objet aimé nous paraissent en rapport avec l'importance du résultat. C'est, en effet, la génération future, dans la détermination de tous ses individus, qui tend à l'existence au travers de toutes ces menées et de toutes ces peines. Oui, c'est elle-même qui s'agite dans ce triage circonspect, précis et obstiné fait en vue de la satisfaction de l'instinct sexuel et que nous appelons l'amour. L'inclination croissante de deux amants, c'est déjà au fond le vouloir-vivre du nouvel individu, qu'ils peuvent et voudraient procréer ; et même dans cette rencontre de regards pleins de désir s'allume déjà sa prochaine existence ; elle s'annonce pour l'avenir comme une individualité harmonieuse et bien combinée. Ils sentent le désir de s'unir réellement, de se fondre en un être unique pour continuer à vivre seulement en lui, et ce désir trouve sa satisfaction dans la procréation de l'enfant, en qui leurs qualités transmissibles à tous deux se perpétuent, confondues et unies en un seul être.
. En revanche, une aversion mutuelle, décidée et persévérante, entre un homme et une jeune fille,
est la preuve qu'il ne saurait naître d'eux qu'un être mal organisé, sans harmonie et malheureux.
On voit par là le sens profond de cette peinture où Calderon nous représente l'effroyable Sémiramis,
nommée cependant par lui la fille de l'air, comme le fruit d'un viol, suivi du meurtre de l'époux.
Rinunzia di Sé, rinunzia del frutto dei propri atti: c’è in Schopenhauer una specie di orrore per l’essenza della Volontà, a cui occorre porre rimedio tuffandosi nel nulla, sì, il nulla del nostro universo, con i soli e le galassie, la vastità degli spazi siderali, in una sorta di estatica contemplazione che ricorda Plotino, ma forse anche Meister Eckhardt: il divino è colto alla fine di tutte le voci, come puro limite di tutte le risonanze, sottrazione, metafisico silenzio che pervade il territorio del nulla.
Ma qui entriamo in un ambito teologico forse estraneo a Schopenhauer, anche se è egli stesso a dichiarare, in un frammento del 1858: «Buddha, Eckhardt ed io insegniamo nella sostanza la stessa cosa – Eckhardt entro i vincoli della sua mitologia cristiana. Il Buddhismo contiene i medesimi pensieri, non contaminati da tale mitologia, ed è quindi semplice e chiaro, per quanto una religione possa essere chiara. Io ho raggiunto la chiarezza completa. Se si va alla radice dei fatti, appare evidente che Meister Eckhardt e Sakyamuni insegnano la stessa cosa, con la differenza che il primo non può e non sa esprimere i propri pensieri con la stessa immediatezza del secondo, trovandosi invece obbligato a tradurli nella lingua e nella mitologia del Cristianesimo»[9].
Non bisogna tuttavia dimenticare che se c’è un pensatore antimetafisico e antiteologico questi è proprio il filosofo di Danzica. E su codesti presupposti Nietzsche fonderà le sue qualità di educatore[10], la sua virilità eroica di pensatore che vuol cessare d’essere giocattolo del divenire, che chiede l’oblio del sé per intraprendere la ricerca del Vero. E in India, nel Brahmanesimo e nel Buddismo, egli aveva trovato quella profonda saggezza del vivere, quell’umana dottrina che né l’Islamismo, né l’Ebraismo avevano potuto soddisfare. In effetti, tutte le religioni mediterranee, così come i fondamenti della sapienza greco-romana, non sono altro – sosteneva – che un mero riflesso di una luce originaria proveniente dall’India[11]. Schopenhauer leggeva le Upanishad nella traduzione latina di Anquetil Duperron, il quale si era basato su un esemplare in persiano che risaliva al 1656. Nonostante la scarsa attendibilità filologica e lessicale dei testi disponibili, egli considerava le Upanishad la consolazione più preziosa della sua vita, ed era solito chinarsi su quei testi dell’antica sapienza indiana ogni sera, prima di coricarsi.
El príncipe de Japón Akishino y su esposa la princesa Kiko fueron recibidos este lunes por el presidente de México, Enrique Peña, en una ceremonia oficial celebrada en el patio central del Palacio Nacional, para luego sostener una reunión privada y un almuerzo de honor.
El príncipe y su esposa asistirán a la Inauguración del XLII Festival Cervantino en Guanajuato, una fiesta cultural anual en el cuál Japón es el país invitado de honor.
La visita forma parte de un programa conmemorativo de la relación bilateral, que ha designado este año 2014 como "Año del Intercambio México-Japón", cuando se celebran los 400 años de la misión del samurái japonés Hasekura.
Hasekura cruzó el océano Pacífico en 1614 en un barco con 180 pasajeros, para establecer el comercio directo entre Japón y la naciente colonia de la Nueva España, en los territorios del México actual, y para propagar el cristianismo en el entonces señorío japonés de Sendai, y la adquisición de su tecnología para la producción de plata.
La relación entre ambos países se han intensificado, y sólo el año pasado, a México han llegado más de 130 empresas japonesas de servicios, manufactura, recursos naturales, petróleo y gas.
El intercambio comercial desde la firma del acuerdo de Asociación Económica bilateral creció casi 40 por ciento de 2005 a 2012; en ese lapso pasó de 14.500 a 20.000 millones de dólares, con predomino de exportaciones mexicanas.
La visita ocurre poco más de dos meses después de que el Primer Ministro de Japón, Shinzo Abe, visitó México para reforzar su alianza estratégica bilateral en la región Asia-Pacífico y celebrar 10 años de la firma del Acuerdo de Asociación Económica.
El líder japonés se realizó, en aquella ocasión, una gira de diez días por cinco países latinoamericanos, México, Colombia, Chile, Brasil y Trinidad y Tobago; en el mismo mes que el subcontinente fue recorrido por los líderes de Rusia, Vladímir Putin, y de China, Xi Jinping.
Tokio es el cuarto socio comercial de México en el mundo y el segundo de Asia, de acuerdo con datos de 2013.
El presidente Peña y el Primer Ministro Abe coincidieron al tomar protesta de su cargo al mismo tiempo, en el año 2012, y ambos líderes se han reunido cinco veces, lo que vuelto más cercana a relación de México y Japón.